Pose tes yeux effrayés près du lit marin surtout ne bouge pas les oiseaux te croient mort noyé dans les sèves de l'enfance si j'osais j'emmurerais ton silence dans le labyrinthe de tes doigts étreignant la lumière ordonne et ma parole contaminera le pays de ma chambre tapissée de feuillage et de plaisirs anciens sous un ciel voyou
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