A tout jamais, d'un amour immuable Au pied du mur je mvoy sans echelle Autres pensées faites un mois après la mort du roi Ballade Bon temps Cantique spirituel Celle qui fut de beauté si louable Cessez, cessez, gendarmes et piétons Chant royal de l'arbre de vie Coeur endurci plus que la roche bise Coeur prisonnier, je vous le disais bien Complaincte d'une Dame surprinse nouvellement d'amour Complainte de l'infortuné et de regrets importuné D'avoir esgard à l'Honneur D'eviter oisiveté D'ung tel ennuy que je souffre et endure De bien faire durant la vie De constance De la vertu de Miséricorde Durant ce temps de moissons et vandanges Elle m'a dit : Par refus ou tourment Épitaphe de Marguerite de Navarre Épître Étant seulet auprès d'une fenêtre J'aime une amie entièrement parfaite Je meurs de soif auprès de la fontaine La parfaite amie La ressource du petit peuple Le temps est bref et ma volonté grande Le testament de la guerre Les adieux M'amie à soi non aux autres ressemble Malgré moi vis, et en vivant je meurs Misère du pauvre infortuné Mon seul plaisir et ma chère partie Mon seul Sauveur, que vous pourrais-je dire Ô prompt à croire et tardif à savoir Ô triste départir Par accident je suis prins de froidure Par Jésus-Christ notre sauveur Pensive suis, frappée d'ung subtil dart Plus j'ai d'amour plus j'ai de fâcherie Plus j'ai de bien, plus ma douleur augmente Plus n'ay d'actente au bien que j'espéroye Qui la voudra Réponse à Clément Marot Rondeau Tout m'est dueil, tout m'est desplaisir Triste penser Un ami vif vint à la dame morte Vous m'aviez dit que vous m'aimiez bien fort